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Mot de la motricité fine

Coordination, force et amplitude de mouvement pour les muscles et les articulations de la main qui manipulent de petits objets ou effectuent des mouvements isolés des doigts.

Le boutonnage d’une chemise et l’insertion d’une clé de voiture dans l’allumage nécessitent une motricité fine. La motricité fine implique l’utilisation des petits muscles et des articulations de nos doigts et de nos mains. Ils nécessitent souvent la capacité de contrôler un doigt à la fois, par exemple en effectuant un clic droit sur une souris. Ou ces compétences peuvent nécessiter une coordination complexe de tous nos doigts à la fois (comme taper sur un clavier) pour effectuer des mouvements rapides et répétitifs. Nous utilisons la motricité fine tout au long de la journée pour des tâches telles que texter, écrire, ouvrir les couvercles de nos ordinateurs portables ou appuyer sur le bouton d’alimentation de notre casque.

La motricité fine peut être affectée lorsqu’une personne manque de doigts ou de mains, ou si elle a des conditions qui limitent la force et l’amplitude des mouvements, comme l’arthrite, la paralysie cérébrale, la sclérose en plaques, la dystrophie musculaire, la lésion de la moelle épinière, l’accident vasculaire cérébral, la douleur chronique, la dyspraxie ou une blessure à la main.

Barrières

  • Tailles de bouton qui supposent qu’une personne peut isoler les doigts sur une petite surface
  • Petits ports qui nécessitent un positionnement et une orientation précis pour les cordons de connexion
  • Éléments qui nécessitent des mouvements de moteurs fins à retirer du stockage (par exemple, un stylet numérique)
  • Tâches nécessitant des mouvements complexes des doigts et des mains (comme la saisie)

Facilitateurs

  • Prise en charge d’autres options d’entrée si une personne ne peut pas taper ou utiliser une souris (par exemple, clavier visuel, voix, claviers de remplacement et souris)
  • Boutons plus volumineux ou plus faciles d’accès
  • Boutons qui sont soulevés par rapport à leur surface environnante
  • Cordons qui nécessitent une force minimale pour insérer ou retirer un port
  • Options flexibles, telles que le positionnement des cordons dans des ports plus indulgents (par exemple, USB-C)

Exemples

Un homme tente de toucher un petit bouton sur son casque avec un joint. Ses deux mains semblent figées dans un poing lâche, et son poing semble trop gros pour manœuvrer le petit bouton.

BARRIER — Si les boutons sont petits ou de niveau avec le matériel environnant, ils peuvent être difficiles à appuyer avec des parties du corps plus grandes comme des poings ou des paumes.

La main de l’homme, en forme de poing, balaye un bouton bascule plat sur le casque.

FACILITATEUR : l’augmentation de la taille ou de la hauteur du bouton peut réduire la quantité de dextérité nécessaire pour appuyer dessus. ​

 


L’objectif de cette référence est de fournir des concepts que les utilisateurs peuvent utiliser pour documenter et discuter des aspects de la fonction. La conception doit se produire avec des personnes handicapées, cette référence est destinée à soutenir cette activité, et non à la remplacer.